RESULTATS SPECTACULAIRES OBTENUS PAR LA METATHERAPIE
Obtenir un traitement sans effets secondaires est possible en corrigeant la configuration électrique de l'objet biologique.
Dr. M.Gheorghiu, Dr. T.Trandafir
Comment fonctionne la métathérapie:Les cellules d'un tissu ont la capacité d'émettre des champs
biologiques, avec les mêmes caractéristiques physiques. Ils résonnent aisément, ainsi un tissu ou un organe fonctionnel sont caractérisés par le synchronisme de leurs cellules. Ils peuvent entrer en résonance avec un autre champ intérieur ou extérieur, si leurs dimensions physiques sont compatibles. Ces champs sont malléables, de là leur conservation et édification participent surtout aux dipôles de molécules d'eau. Les limites de variabilité ne sont donc pas grandes. Les molécules d'eau constituent les éléments essentiels dans l'édification et la malléabilité du champ bio cellulaire. Ces molécules sont structurelles, pourtant leur altération de n'importe quelle façon mène à la mort du système cellulaire, comme un groupe "avec un seul élément" de la théorie de foule. Par l'influence des champs biologiques, les molécules d'eau peuvent former des structures spatiales, qui sont des engrammes du champ biologique de principe. L'Eau peut former autant d'engrammes qu’il y a de champs existant dans l'univers. Des cristaux d’eau isolés et photographiés par des chercheurs japonais ne laissent aucun doute dans ce sens. Une structure semblable agit comme un cristal liquide contenant les informations et le véhicule d'informations. Les informations contenues dans un cristal d'eau peuvent être "lues" par n'importe quelle structure qui possède la capacité de recréer le champ de générateur initial. Le décodage est un processus de résonance, tandis que le résonateur peut être situé à distance du codificateur. La capacité de produire des champs est générale, mais certaines cellules, comme les neurones, possédent "une haute spécialisation". Certains de ces champs fonctionnent aux fréquences basses, entre 4 et 12 Hz. Les champs avec des fréquences de plus de 150,000 Hz sont juste perçus intuitivement et ne sont pas caractérisés comme ayant une signification physiologique. La capacité de produire ces champs est caractéristique de toutes les cellules tirées du tube neural, y compris les cellules endocrines. L’homéostasie est génétiquement inscrite comme un hologramme dans toutes les zones décisionnaires du système nerveux central (CNS), somatique ou végétatif. De ce point de vue, n'importe quelle maladie est un hologramme différent, en dehors des limites admissibles de l'hologramme normal. Un hologramme anormal a tendance à être corrigé par la coordination neuroendocrine. L'incapacité de correction, indépendamment de la cause (centrale ou périphérique), mène à l'apparition de maladie clinique. Les signes afférents et efférents ont des états intermédiaires sur leur trajectoire, qui fonctionnent comme des résonateurs. Le signal primaire se heurte aux signaux reçus des résonateurs, le résultat étant une modulation dans la fréquence, de type onde pulsée. Le dispositif Metatron intercepte certaines des caractéristiques du champ biologique, comme le champ électromagnétique. Ainsi, les informations reçues sont comparées avec les données stockées dans la base de données et suggèrent la similitude avec les champs modifiés caractéristiques de certains états de maladie. En fait, l'équipement exécute une analyse spectrale du champ magnétique de n'importe quelle structure biologique. Le principe fondamental dans le développement de l'équipement est le suivant: l'organisme humain a une empreinte électromagnétique informationnelle qui est capable de se heurter aux stimuli électromagnétiques externes. Un tissu émet une fréquence cellulaire qui est caractéristique de l'individu qui est testé. Finalement, le système stabilise le niveau de similitude avec un standard cellulaire/tissulaire, sain ou pathologiquement modifié. Le dispositif Metatron a aussi la capacité de générer des champs correcteurs qui agissent comme des modèles similaires au champ héréditaire, comprenant le code génétique de l'individu. Ces champs correcteurs peuvent avoir une action sur les points suivants: Sur les centres nerveux supérieurs et les glandes endocrines, Sur les résonateurs, Sur les cellules, tissus et organes. Ainsi, "le traitement électromagnétique" appliqué peut corriger le comportement électromagnétique du tissu traité, et par la même ramener les réactions biochimiques à un niveau qui correspond à un tissu normal. |
Résultats cliniques:Quelque uns des résultats spectaculaires obtenus par la métathérapie :
· Réduction des dimensions jusqu'à la disparition de tumeurs bénignes (kystes ovariens, fibromes utérins, mastopathies fibrocystiques, kystes synoviaux), · Maintien d'une dysurie de 500-1000ml/24 heures (isostenuria), d'un patient sous hémodyalize pendant un an et demi, · Traitement de 3 ans d'un patient avec leucémie myéloïde chronique (associé à une chimiothérapie avec Glivec). · Restructuration partielle de valves cardiaques (réduction d'une insuffisance mitral), · Drainage biliaire rapide; traitement de lithiasesréno-vésiculaire, · Stabilisation des certaines formes d'hépatite virale (B et C), sans thérapie conventionnelle. Le travail ci dessous présente 3 cas cliniques avec des résultats uniques par métathérapie : sclérose en plaques, thrombose veineuse profonde et superficielle du membre inférieur sur un patient avec hypercoagulation congénitale et mycose fongoïdes à l'état de lymphome cutanée du type cellulaire T. Les deux premiers cas ont présentés des rémissions spectaculaires après plusieurs sessions de métathérapie, les rémissions ont été stables pour au moins une année. Dans le cas postérieur, les lésions cutanées ont disparues dès le premier traitement, mais réapparaissaient si le patient écartait le traitement de plus d'un mois. La métathéraphie a été présenté au patient il y a 3 ans et demi et pendant ce temps le patient a refusé le traitement avec l'interféron, sans que la maladie ne progresse de manière systématique. 1. Patient féminin, 24 ans avec M.S. (Sclérose en plaques). Mars 2009 Hospitalisé à l'Hôpital d'Elias à Bucarest avec le diagnostic de diplopie récemment installé. IRM cranio-encéphalique avec moyen contrasté le 06.03.2009 : -3 lésions démyélinisées actives : une de 9/3mm droite souscorticale, une autre 9/6mm tangentielle avec la parroie sousventriculaire gauche et un autre de 7/3mm droite temporel souscorticale. -2 lésions démyélinisées : une de 10/4 mm perpendiculaire sur le ventricule latéral droit et une autre perpendiculaire 8/6mm sur le ventricule latéral gauche (corne postérieure). - Conclusion : les lésions supratentorielles bilatérales démyélinisées, certaines avec une caractéristique active, avec un aspect suggestif de M.S.; nécessitent la corrélation avec les données biologiques cliniques. IRM cranio-encéphalique avec moyen contrasté le 26.01.2010: (après 6 sessions de métathérapie et sans aucune autre thérapie appliquée) -2 lésions démyélinisées 7.5 et 5.5mm localisé sur le pariétal droit, lobe supraventriculaire. -1 lésion démyélinisée avec catégorie d'activation baissée d’approximativement 3.3 mm localisés sur le pariétal gauche, supraventriculaire. -Métathéraphie : 3.06.09, 9.06.09, 18.06.09, 26.06.09, 17.07.09, 8.09.09. 2. Patient féminin 32 ans avec D.I. Déficience congénital de protéine C anticoagulation. Diagnostic : thrombose Ilio-femoro-poplitéale gauche post-intervention chirurgicale pour l'excision de la grande veine saphène droite. ÉCHO DOPPLER - membre inférieur veineux le 04.02.2009 membre inférieur gauche : · thrombose Ilio-femoro-poplitéale. Le pôle supérieur du thrombus atteint la veine iliaque commune gauche, dont le diamètre résiduel à la compression est 10mm, · le diamètre résiduel à la compression de la veine iliaque externe est 12mm, · Veine fémorale commune : 15mm, avec un petit canal qui circule de manière périphérique, · Veine fémorale superficielle : 8mm, sans signes de reperméabilisation, · une veine périnéale compressible, l'autre avec un diamètre résiduel de 4.4mm, · Thrombose d'une des veines solaire, · Grande veine saphenous : normale, · Veine saphène moindre avec le pôle supérieur à la jonction saphéno-poplitéale, diamètre à la compression de 4.7mm. ÉCHO DOPPLER - membre inférieur veineux le 27.05.2009 membre inférieur gauche : · Thrombose Ilio-fémoro-poplitéale en processus de canalisation. · Diamètre résiduel à la compression : · Veine iliaque commune 3.5mm, · Veine iliaque externe 4mm, · Veine fémorale commune 3.5mm, · Veine iliaque externe 4mm, · Veine fémorale commune 3.5mm, · Veine fémorale superficielle 6mm, · veine poplitéale 2.3mm, · Les veines péroniales sont compressible, · 2 grande veines saphène :normales · Veine saphène moindre partiellement compressible avec un résidu lumen d’environ 2mm Quatre sessions de métathérapie ont été réalisées, dans les conditions dans lesquelles on a considéré la thérapie d'anticoagulation efficace pendant au moins 6 mois. 3. Patient féminin 68 ans avec T.D. Diagnostic : mycose fongoïde en présence d'une cellule T cutanée lymphome. Le patient présent le 11.01.2007 pour l'évaluation par analyse non-linéaire télémétrique (la méthode Metatron), étant déjà diagnostiqué avec la mycose fongoïde en présence de lymphome cutané cellulaire T. Au moment de l’examen, la présence de lésions thoraciques vastes, aussi bien sur l'abdomen que les membres, particulièrement au niveau de coude et du pli inguinal. La première session de métathérapie a été exécutée et provoqué une récession spectaculaire des lésions cutanées, le patient n’utilisant plus de pommades. Cette rémission des lésions s'est maintenue tant que le patient a répété le traitement à un intervalle de 1-3 semaines. La prolongation des intervalles a déterminé une réapparition des lésions. Le patient s'est décidé pour quitter la thérapie d'interféron en 2007 en raison des réactions défavorables qu'elle ne pouvait plus tolérer. Durant la période de 2007 à mai 2010, le patient n'a pas présenté de modification significative de l’hémoleucogramme et des autres tests hématologiques qui ont été exécutés. Il ne s’est également pas manifesté de changements secondaires des organes internes. Mis à part la médecine cardiovasculaire et des émollients locaux, aucun autre traitement n'a été utilisé autres que la métathérapie. À l'heure actuelle, le patient est en Suisse pour des enquêtes spécialisées. L’extrême réceptivité tissulaire au traitement par ondes électromagnétiques fut incroyable, les lésions régressant 12-48 heures après l’application de la thérapie. |